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 Shanoa VI, partie II

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ShanoaOoE
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ShanoaOoE


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MessageSujet: Shanoa VI, partie II   Shanoa VI, partie II EmptyLun 12 Nov - 19:21

Après une longue absence... Et aucune réaction sur le chapitre précédent, j'hésitais à venir hanter ce sujet.
Il y aura une dernière partie. À la VIIeme, ce sera la fin...


Shanoa, VI, partie II

La jeune femme doit absolument récupérer le glyphe que Dracula vient de lui reprendre.
« Rends-moi cet élément, et je serai à toi. », lui demande t-elle.
Le vampire lit la supercherie dans sa demande. Il n’est pas dupe, mais souhaite tout de même jouer avec elle.
« J’en conclu donc que c’est plutôt par le plaisir que tu veux que notre combat continue ? »
Shanoa fait la moue. Elle décide, une nouvelle fois, de charger avec les trois pouvoirs de Cerbères.
Mais ténèbres contre ténèbres ne font naître qu’un sort plus puissant, que Dracula renvoit simplement en miroir à la jeune femme. Les deux êtres semblent se jauger une nouvelle fois, le sort fatal n’étant qu’à quelques pas de l’envoyée.
« Tu sais comme moi que si je fais partir ce sort, tu ne me laisserais que l’enveloppe vide de ton corps. »
Se ravisant, ne sachant pas à quel sort avoir recours, Shanoa a compris qu’elle ne devait pas déployer les deux dernières parties de [Dominus].
Le glyphe argenté brille dans la paume de Dracula. Toujours dirigé vers Shanoa, celui-ci appelle à lui les deux autres entités. Comme si elles étaient cachées sous l’épiderme de Shanoa, les deux sorts ultimes semblent vouloir sortir de son corps, sur son plexus solaire. Une sphère bleue et rouge se confondent pour devenir violette.

« Si j’expose ce glyphe aux deux autres ne serait-ce que plus d’une minute, ta cache thoracique va exploser. Tu ne crois tout de même, en temps que simple porteuse, que le sort en a quelque chose à faire de ta vie ? Son but ultime est de me revenir, que le sort me tue ou non. À la fin, Shanoa, j’aurais ces trois parties. »
Dracula étend son autre main vers Shanoa. La jeune élue ressent que le seigneur des ténèbres est en train de diffuser toute l’énergie du glyphe dans son corps de vampire et de s’en nourrir. [La Colère de Dominus] monte en Dracula. Il éclate de rire  d’un rictus cruel, les traits harmonieux de son visage se tordent de la plus horrible des manières. Son expression monstrueuse, il se rapproche de la jeune femme qui s’est instinctivement éloignée de lui pour tenter de réduire l’attraction des trois sorts entre eux.
Dracula, à pas lents, la force à battre en retraite, jusqu’à ce que son dos heurte la lourde porte d’onyx. Il la tient aculée.

Levant la main sur elle, il aurait pu lui briser le cou est en rester là. Au lieu de cela, lisant la plus exquise des peurs sur le visage de la jeune femme ,il rapproche inexorablement [La Colère de Dominus] de son plexus solaire, jusqu’à ce que la paume de Dracula diffuse une chaleur étrange directement au contact de la peau de Shanoa. Cette chaleur la surprend, elle essaie de rassembler ses forces pour attaquer, mais aucun des glyphes qu’elle a en elle ne semble lui obéir, aspirés par la puissance des deux glyphes de [Dominus], couplés avec celui que possède Dracula. La chaleur devient bientôt brûlure, et la main de Dracula semble disparaître derrière la sphère grandissante.

Avant qu’il ne soit trop tard et qu’il ne la tue par ce procédé, il défait une nouvelle fois son âme de son corps. Instantanément, celui-ci ploie et Shanoa s’évanouit sans plus de résistance. Dracula se penche cérémonieusement vers elle. La scène de leur première rencontre dans les relents du crabe terriblement difforme lui revient en mémoire. Une nouvelle fois, la peau de lait de Shanoa devient extrêmement transparente et Dracula aperçoit alors sa veine carotide palpiter, ainsi que toutes les veines parme de son corps. Il balaie cette pensée et soulève la jeune femme pour la porter à nouveau vers ses appartements. Il constate que les soins prodigués ont réussi à effacer les séquelles de ses combats avec elle, et que même son intervention de médecine classique a porté ses fruits.
Il l’enchaîne à un anneau au plafond. Des liens lourds tendent ses membres endormis. Ses pieds ne touchent pas terre. Sa tête dodeline, inerte.
Son corset à moitié défait est heureusement encore pressé contre elle. On y devine la présence de ses dessous noirs métalliques ,en côte de maille. Dracula lui imagine un petit air de Jeanne d’Arc qui le fait sourire.
Il se place dans son dos, à trois pas d’elle. Puis, défaisant le fouet qui pend à sa ceinture il échauffe sa peau et ses nerfs par de petits coups brefs là où elle n’est pas vêtue. Le fouet laisse instantanément une marque rouge qui disparait en quelques secondes. Le poignet du Comte est souple et entraîné. C’est sous cette pluie fine de coups que Shanoa reprend connaissance. Ses bras ankylosés lui arrachent une première faible protestation. Elle hausse les épaules pour les soulager. Son omoplate droite craque.

« Tu vas souffrir jusqu’à temps que les douleurs que je t’impose surpassent celles engendrées si tu me rends ce dernier glyphe. C’est là l’ultime épreuve que je te soumets pour rendre compte de ton entrainement. »
Il se place devant elle, sa paume se rapprochant de son plexus solaire.
« Tu n’as trouvé que cela ? Me soumettre à la question ? »
« Je ne t’ai jamais torturée, sans quoi tu n’aurais même pas pensé formuler cette phrase. Cette fois-ci, il n’y aura pas d’échappatoire, Shanoa. Pas de succube ou d’Alucard, ni même de salut pour toi. Je déciderai de l’issue de cette session,  que tu sois morte ou vive. Imagines-tu la douleur que tu vas devoir combattre pour égaler celle de la réunification des glyphes ? Tu n’as pas idée, je le vois bien. Préfères-tu perdre maintenant ? »
Shanoa lui crache au visage, le regard plein de haine.
« Fais-de moi ce qu’il te plaira, mais rends-moi au moins mon âme. »

Il tique de désapprobation. Il produit une petite dague dont il promène la lame sur le bras gauche de Shanoa. L’entaille pratiquée n’est pas profonde, brève, mais le sang de la jeune élue se met à lentement couler le long de son membre. Comme hypnotisé, Dracula s’enivre du parfum métallique et sucré de son sang. Il y porte ses lèvres. Shanoa ne peut réprimer un frisson.
« Tu ne pouvais pas te contenter de ma couche, soumise comme tant de mes amantes. Il a fallu que tu te rebiffes pour me prouver que tu valais plus qu’elles. Je te l’ai déjà dit. Ta vantardise et ton effronterie seront ta perte. Je te pardonne. C’est inscrit dans ton sang. Je suis chagrin de devoir le gâcher. »
La langue de Dracula glisse doucement le long de l’entaille. Lorsqu’il la quitte, le sang se remet à couler en un filet très mince. Le seigneur des Ténèbres goutte enfin à son plaisir. Humer le sang de sa captive, dont il avait rêvé. Pur, mortel. Le sang d’une vierge. Il attendrait d’entendre son dernier souffle pour s’en délecter. Son ultime appel à la grâce. Il espérait qu’elle endure ses tourments le plus longtemps possible. Le Comte détestait obtenir les choses trop facilement. Avisant son dos, il lui envoie un coup de fouet brutal, qui lui coupe le souffle. Il saisit sa taille et lui assène le même traitement. Ses deux omoplates sont brûlantes. Les lignes s’arrêtent à l’endroit même où commence l’encolure de son corset. Trois traits horizontaux couvrent alors le haut de son dos. Dracula s’avance, lui empoigne les cheveux et les rejette sur son épaule droite. Ils tombent en cascade. L’on entend un bruissement et le corset de la jeune femme tombe à ses pieds. Ses doigts caressent alors toute la surface exposée de son dos. Des ongles pointus et noirs du maître du château sort alors une encre sombre qui vient s’imprimer sur la chair de la jeune femme. Lorsque le liquide pénètre sa peau, Shanoa se crispe et tente d’échapper à ce courant électrique. Le bras de Dracula l’enserre, se plaçant juste sous ses seins. Il détaille ses côtes et plante son ongle entre l’une d’elle. Un point d’encre se forme à nouveau. Shanoa tressaille.

Reportant son attention sur son dos, d’une main, le Comte continue son tracé.
« J’ai prévu de graver en ta peau mon empreinte. Un sceau. Dans ma compassion je n’ai pas décidé de le pratiquer sur ton âme. Sans quoi, je te l’assures, tu te damnerais pour me tenir éloigné de toi. » Dessiné avec une lenteur calculée, le graphisme arrache à chaque fois le même cri rapide à Shanoa. À chaque nouvel imprimé, la douleur est constante. Jamais elle n’a été moins cuisante ou plus intense. De ces réactions, Shanoa comprend qu’il sait exactement prévoir ses ressentis en fonction de ce qu’il lui fait. Cinquante cris déchirèrent l’atmosphère gothique de la chambre de Dracula jusqu’à ce que celui-ci ait fini. Le travail accompli, il cingle le dos de son ennemie en respectant l’ordre de son tracé. Chaque ligne dessinée suit le mouvement souple du fouet qui se déplace sur cette œuvre comme un serpent sournois. Cette fois, les cinquante autre cris de la jeune élue sont beaucoup plus  stridents. Elle en regrette même de ne plus le sentir dessiner sur elle.
« J’ai besoin de ton sang pour qu’il contraste avec mon art et le mette en relief. Le dragon rouge et noir va bientôt se matérialiser en toi. »
S’éloignant pour quelques secondes, il plaque un tissu sur le graphisme, qui vient s’imprimer dans les fibres. Il le présente à Shanoa.
« Ce n’est pas celui de Sainte Véronique, mais voici ce dont je t’ai ornée, ma belle. »

Shanoa regarde le dessin, horrifiée qu’il lui ait gravé un symbole si démoniaque sur la peau.
« Et tu as déjà crié cent une fois en ma chambrée. » Se saisissant d’un des bougeoirs, Dracula fait danser la lueur vacillante de la flamme devant les yeux de Shanoa.
« La cire devrait cicatriser tes blessures, si toutefois tu en supportes la brève brûlure. »
Il se place dans son dos et fait courir le long de sa moelle épinière la cire violette, chaude. Le trait brûlant termine sa course dans le bas de son dos.
« Ton dos est magnifique, tes muscles saillants, tes fesses charmantes qui se contractent contre moi à chaque nouvelle coulure. Et ton corps qui tremble légèrement. » Pendant qu’il parle, une partie de la cire s’est déjà solidifiée.
Il s’éloigne encore et entoure de force son cou d’un collier. Une tige en bois est placée au milieu. Ses deux extrémités sont pointues. Non pas perçantes, mais pointues. Il relève la tête de Shanoa et place la première fourche sous son menton, disposant la seconde sur son sternum.
« Voici la fourche des hérétiques. Il est dans ton intérêt de ne pas laisser ta tête retomber. Cependant, dans ma clémence, je ne t’ai pas affublée de l’appareil en métal. »
Le regard de Shanoa se charge de tensions. Elle n’a d’autres choix que de toiser le Comte. Devant elle, celui-ci pose sa paume au-dessus son plexus solaire, matérialisant la sphère de [La Colère de Dominus]. Ses doigts cependant, ne sont qu’à quelques millimètres de sa peau.

« Tu t’es évanouie, suivant pareil traitement tout à l’heure. » Le Comte soupire,  en maintenant toujours son regard. « Ah, Shanoa. J’aurais pu te convaincre de me laisser prendre les deux derniers glyphes plutôt que de m’efforcer à te les arracher. Tu n’aurais pas eu besoin d’être fouettée puis marquée et mise en danger. »
« Cela doit t’exciter outrageusement, que de me traiter de la sorte ? »
Elle n’a même pas cillé en prononçant ces paroles. Le Comte avait pratiquement posé sa paume sur elle. Elle subit les décharges électriques et un tiraillement intérieur sans mots dire.
Ses ongles noirs s’enfoncent dans la peau. Ses yeux perçants scrutent le moindre mouvement de faiblesse de la part de sa captive.
« Eh bien, j’ai voulu t’initier au plaisir pour que tes glyphes soient libérés dans nombreux orgasmes, mais tu as à chaque fois montré une résistance devant laquelle je ne peux rester indifférent. Ton masochisme sera également ta perte. Te prendre sauvagement dans tes dernières forces n’est pas dans mon projet. »

Ayant ainsi parlé, il empoigne la fourche et pratique une légère pression dessus. Des deux côtés, Shanoa sent la tige de bois s’enfoncer. Sa main suit la ligne de sa nuque. D’un mouvement alerte, il la débarrasse du collier, ainsi que de ses chaînes. Shanoa n’a pas la force de rester debout et tombe sur le sol. Avant qu’elle ne puisse se relever, Dracula la plaque à plat-ventre sur le marbre froid. Produisant une dague à la lame plus épaisse, il cisaille sans efforts les côtés du haut de Shanoa et passe sa main, triomphant, sur la surface à présent libre– qui n’est pas plus large que deux de ses doigts– de la peau de Shanoa.
« Le froid est en train de prendre possession du haut de ton corps » Claquant des doigts, il fait couler sur la jeune femme un courant d’eau glacé qui serpente jusqu’au long de ses jambes. Toujours immobilisée au sol, Dracula souffle à son oreille :
« La douceur de mes bras et la chaleur de mon lit à baldaquin n’attendent que ta volonté et ta pudeur. » Il prend alors place sur un siège d’apparat en face d’elle, espérant qu’elle se relève. Tremblante, blessée, la jeune femme n’ose regarder Dracula dans les yeux. Dans le silence qui emplit alors la pièce, un cri, suivi d’un autre, se fait entendre. Inexorablement, Dracula arrache par la force de l’air chacun des bouts de cire plaqués sur la peau de la jeune femme. La gorge sèche, elle regarde avec envie la coupe d’eau en cristal que lui présente ensuite Dracula. Il lit dans ses yeux qu’elle pense à se trainer jusqu’à lui, ce pourquoi, avec un rictus cruel, il boit lentement le contenu de la coupe, avant de la jeter à ses pieds.
« Eh bien, il doit sûrement en rester une goutte. Allons, bois. »

Shanoa saisit le récipient de cristal et le lance sur Dracula. Elle a alors un rictus de douleur, un des pics qui ornent le pied du gobelet s’est fiché dans sa paume. Dracula se lève de son siège, lui saisit la main.
Elle se défend et tente de le repousser. Son sang coule abondamment le long de son poignet.
« Tiens-toi tranquille ! » lui ordonne-t-il, alors qu’il porte sa main à ses lèvres à lui.
Il lèche alors pendant un long moment le sang qui s’écoule de la plaie, faisant peu de cas du fait qu’il ait dû le faire prématurément. Sa langue cautérise en même temps la méchante entaille.
Shanoa trouve encore la force de lui répliquer :
« Tu me fais du mal et te voilà maintenant en train de guérir cette plaie ? »
Les yeux teintés de pourpre de Dracula se plantent dans ceux de la jeune femme. Il lui répond, avec un ton sadique :
« Je te l’ai déjà dit. Dois-je donc me répéter ? Les blessures qui ne sont pas de mon fait, ou de mes créatures, seront toujours pansées. »

Dracula ne manque pas de remarquer que les yeux de sa captive s’étaient empreints de lassitude et de détente nerveuse lorsqu’il l’avait touchée. Il entreprend donc de caresser son dos, en portant une attention toute particulière à la gravure. Il se penche sur elle et impose ses deux mains.
Soudain, [L’agonie de Dominus] sort de la bouche de Shanoa comme si celle-ci n’avait fait qu’expirer et se loge dans le buste de Dracula.
Il comprend alors que ce n’est que sous les tourments que la jeune guerrière baisserait sa garde et lui permettrait de l’aider, à la suite de quoi le dernier glyphe serait à lui. Curieux de savoir jusqu’à combien de temps encore elle le laisserait faire, Dracula aide finalement Shanoa à se relever et, la soutenant, l’allonge sur son lit. Éteignant toutes les bougies qui nimbent la pièce, il sort de sa chambre avant de lui glisser :
« Tu vas avoir besoin de tes forces, pour notre dernier– cette fois ci j’en suis sûr– face à face. »
Refermant la porte par un sceau que lui seul peut briser, il remarque la présence de son fils, adossé à un colonne. Le jeune homme adresse un regard interrogateur à son père :
« J’en aurais bientôt fini avec elle. Il ne me manque plus qu’un gylphe. Ne penses même pas à pénétrer dans ma chambre, si tu veux qu’elle vive. »

Là-dessus, le Seigneur des Ténèbres se transforme en chauve-souris et disparait, satisfait, à travers une lucarne ouverte, plongeant dans l’abîme de la nuit, le long de la silhouette noire de son château.
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Killy
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MessageSujet: Re: Shanoa VI, partie II   Shanoa VI, partie II EmptyMar 13 Nov - 13:15

ShanoaOoE a écrit:
Après une longue absence... Et aucune réaction sur le chapitre précédent, j'hésitais à venir hanter ce sujet.
Il y aura une dernière partie. À la VIIeme, ce sera la fin...

Pour ma part j'aime bien commenter une fois la production finie ^^ Bon courage du coup pour la suite et fin !
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MessageSujet: Re: Shanoa VI, partie II   Shanoa VI, partie II EmptyMar 13 Nov - 16:00

Ahaha, merci Killy! Smile Eh bien, j'espère arriver à une coda convaincante !
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MessageSujet: Re: Shanoa VI, partie II   Shanoa VI, partie II Empty

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